Pas de compromis facile
Le profil d’exigence du «mOcean» ressemble à la quadrature du cercle: séduire les skippers expérimentés aussi bien que les débutants enthousiastes, les régatiers ou les match racers, sans oublier les propriétaires privés. Et ça marche.
Impossible de satisfaire tout le monde, dit le proverbe. Olivier Luethold et Simon Bruegger, les deux hommes à l’origine du mOcean, ont pourtant essayé de faire mentir le dicton. Ils y sont apparemment parvenus. Pour comprendre le mOcean et le concept qui en est à la base, il faut d’abord expliquer l’idée de «Sailbox»: partager au lieu de posséder seul, naviguer au lieu de nettoyer