Quo vadis ?
En 2022, l’association Ocean Youth Sailing a continué à faire ce qu’elle sait faire le mieux: susciter l’enthousiasme des jeunes pour la voile en haute mer. Après trois années intenses qui ont suivi la construction du catamaran, les fondateurs de l’association vont désormais se pencher en hiver sur l’organisation future d’Ocean Youth Sailing.
Le «Vellamo» d’Ocean Youth Sailing a parcouru plus de 5000 milles marins en 2022. Étape prévue initialement en 2020, les membres de l’association ont enfin pu convoyer le catamaran construit par leurs soins en Méditerranée. Après avoir traversé le Rhin pour rejoindre l’Ijsselmeer peu après l’ouverture des frontières il y a deux ans – un voyage auquel «marina.ch» a participé –, le comité d’Ocean Youth Sailing a décidé de rester aux Pays-Bas en 2021, car les incertitudes de planification liées à la pandémie étaient tout simplement trop grandes.
Les navigateurs de l’association ont finalement pu larguer les amarres au printemps dernier: de l’Ijsselmeer à Saint-Malo, puis via Ibiza jusqu’en Sardaigne, où le «Vellamo» continuera de naviguer l’année prochaine. Lukas Ruppen et Nicola Möckli ont assumé en grande partie la responsabilité de skipper 1 à bord du catamaran. Pendant la traversée, les deux hommes ont également consacré beaucoup de temps à la formation des différents équipages. L’association Ocean Youth Sailing continue en effet d’avoir les trois objectifs suivants: outre la construction, déjà réalisée, et l’exploitation durable d’un catamaran hauturier, son programme comprend également le soutien de projets d’utilité publique et la formation de jeunes en vue de l’obtention d’un permis mer. «Nous avons pu former deux nouveaux skippers 1 pour la saison 2023», déclare Nicola Möckli. Au total, 140 navigatrices et navigateurs sont montés à bord du «Vellamo». En principe, toutes les personnes intéressées peuvent prendre part à la navigation, même si elles ne sont plus en âge de naviguer ou si elles ne souhaitent pas obtenir de permis mer. «Nos équipages sont toujours assez hétérogènes, c’est aussi ce qui fait leur charme», poursuit Nicola Möckli. Pour les passages délicats à travers le golfe de Gascogne, les responsables ont toutefois veillé à embarquer des navigatrices et navigateurs qui avaient au moins déjà réussi l’examen théorique pour le permis mer. «C’était vraiment génial. Toutes les deux semaines, j’avais un nouvel équipage à bord, et tous les skippers 2 ont fait un excellent travail. J’ai pu les laisser pour la plupart naviguer eux-mêmes et me concentrer sur la formation et l’observation de tout ce qui se passait à bord», explique-t-il.
Les navigateurs de l’association ont finalement pu larguer les amarres au printemps dernier: de l’Ijsselmeer à Saint-Malo, puis via Ibiza jusqu’en Sardaigne, où le «Vellamo» continuera de naviguer l’année prochaine. Lukas Ruppen et Nicola Möckli ont assumé en grande partie la responsabilité de skipper 1 à bord du catamaran. Pendant la traversée, les deux hommes ont également consacré beaucoup de temps à la formation des différents équipages. L’association Ocean Youth Sailing continue en effet d’avoir les trois objectifs suivants: outre la construction, déjà réalisée, et l’exploitation durable d’un catamaran hauturier, son programme comprend également le soutien de projets d’utilité publique et la formation de jeunes en vue de l’obtention d’un permis mer. «Nous avons pu former deux nouveaux skippers 1 pour la saison 2023», déclare Nicola Möckli. Au total, 140 navigatrices et navigateurs sont montés à bord du «Vellamo». En principe, toutes les personnes intéressées peuvent prendre part à la navigation, même si elles ne sont plus en âge de naviguer ou si elles ne souhaitent pas obtenir de permis mer. «Nos équipages sont toujours assez hétérogènes, c’est aussi ce qui fait leur charme», poursuit Nicola Möckli. Pour les passages délicats à travers le golfe de Gascogne, les responsables ont toutefois veillé à embarquer des navigatrices et navigateurs qui avaient au moins déjà réussi l’examen théorique pour le permis mer. «C’était vraiment génial. Toutes les deux semaines, j’avais un nouvel équipage à bord, et tous les skippers 2 ont fait un excellent travail. J’ai pu les laisser pour la plupart naviguer eux-mêmes et me concentrer sur la formation et l’observation de tout ce qui se passait à bord», explique-t-il.