Avec le Corps des gardes-frontière

Le Corps des gardes-frontière (Cgfr) – la partie de l’Administration fédérale des douanes (AFD) dont les membres portent l’arme et l’uniforme – dispose des moyens les plus modernes pour surveiller la frontière suisse. Dont notamment, bientôt, un troisième «Targa 37+». Avant la remise de ce dernier au Cgfr, «marina.ch» a pu, lors d’un test exclusif, se convaincre de sa polyvalence.

Targa est connu pour ses bateaux robustes et particulièrement marins. Le chantier finlandais Botnia Marin propose sept modèles de 23 à 44 pieds, qui peuvent tous être utilisés à des fins privées ou professionnelles. Pour Johan Carpelan, fondateur et directeur de Botnia Marin, les bateaux Targa sont «conçus et construits en fonction de ce qu’est réellement la mer et non pas comme on souhaite qu’elle soit.» En d’autres termes, ils sont adaptés aux conditions réelles qui règnent sur l’eau et non pas selon n’importe quelles représentations idéales. Cette approche peut bien être un facteur décisif qui explique pourquoi de très nombreuses organisations professionnelles misent sur cette marque: en Suisse, indépendamment du Corps des gardes-frontière, on retrouve des Targa à l’oeuvre dans douze autres organisations (pour l’essentiel la police du lac et le sauvetage). Pour Urs Faul – le chantier Faul à Horgen importe des Targa depuis plus de 25 ans en Suisse – il y a encore un autre aspect tout aussi important: «Botnia Marin est très ouvert aux adaptations individuelles. Si nous connaissons les besoins précis de nos clients, le chantier peut pratiquement proposer une solution pour chaque problème.» Autrement dit, ce bateau qui est de série au départ devient, dans le domaine professionnel, un Targa personnalisé et unique.